Une sorte de Prozac avec des synthés et des violons.

Une journée bien mais pas top, peut mieux faire.

Il a fait beau mais ça pluvoie en fin d'aprèm et ça restera pas mémorable. Je me console donc comme je peux, mais c'est assez facile au final.
Des fois on fait des pancakes ou un puzzle ; aujourd'hui ça sera juste session funk.

En fait le funk c'est la vie ; t'aimes pas ça tu vis pas.

Une basse qui slappe, des hands qui clappent.

Ray-Ban sur ma head. RFM Night Fever dans mon walkman. Cheveux prêts à l'emploi.

De suite ça fait la différence sur le dancefloor ou dans la Peugeot 205 Junior intérieur zébré mauve indigo.

De suite t'as envie de t'appeler Marvin, Barry, James, Maceo, Roy, George ou Jay et de faire péter le son. (et plus ça vous fait un super jeu pour deviner le nom qui va avec chaque prénom - des cacahuètes pour le premier qui trouve tout)

Le funk ça te lave le cerveau à tel point que tu te rapelles plus avoir fait la gueule aujourd'hui.

En tout cas on ne se rappelle plus que d'une chose :

Stu il claque sa maman avec sa basse.

Ali.