28 semaines plus tard
J'ai donc fait une petite recherche sur cette expression n'existant pas dans le dictionnaire... et que l'on peut donc trouver écrit: zombis, zombii, Zombi iis ( certainement les zombies norvégiens) zombie (les femelles, je suppose) et qui décrivent un style cinématographique en déclin, celui des morts vivants revenant hanter la terre. Il était donc nécessaire de faire le point sur ces zombus (en latinus) qui viennent ternir certaines versions d'affiches comme ci-dessous.
A l'époque une nouvelle passé en boucle à la télévision, le risque d'épidémie et pour les plus catastrophiques: de pandémies dans les prochaines années, les pilotes de la plus grande compagnie aérienne Française avait un salaire doublé pour faire la liaison entre le Japon, la Chine et la France. Le trafic aérien avait été divisé par trois et des règles d'hygiènes passaient en boucle dans les médias nippons: Eviter tout contact porter des masques, des gants...
Plusieurs Centaines de morts (une hôtesse de l'air en France entre autre) suite a ce virus, l'abattage des millions d'animaux... et près de trois ans plus tard toujours aucun remèdes mais le développement du H5n1 qui aurait muté et contaminé un chat.
Voilà donc dans quelle circonstance sort le film 28 jours plus tard sans trop de médiatisation ..
Et voilà donc qu'en 2007, en Septembre exactement 28 semaines plus tard sort la suite de mon oscarisé chef d'oeuvre réaliste 28 jours plus tard. Cette fois le premier rôle sera tenu par Robert Carlyle
Danny Boyle ne sera que producteur Executif dans cette suite, le realisateur est juan carlos Fernandino et Rose Byrne ce qui inspire malgré tout une certaine confiance..
Pour ceux qui ont envie de comprendre pourquoi une suite a ce film qui n'en avait pas besoin voilà le synopsis livré par mediafilm:
"En six mois, le virus de la rage a décimé la population de la Grande-Bretagne dans sa quasi totalité. Sous la supervision de l’armée américaine, on procède au repeuplement, d’abord en ramenant les extradés. C’est ainsi qu'Andy, 12 ans, et sa grande soeur Tammy, retrouvent leur père, miraculeusement épargné par la pandémie sanglante mais porteur d’un lourd souvenir: celui de son épouse tombée sous ses yeux, et en partie par sa faute, sous l’assaut des enragés. Tandis que l’aseptisation de Londres se poursuit, les citoyens sont localisés dans le centre-ville, avec interdiction formelle de franchir la Tamise. Interdiction défiée par Andy et Tammy, désireux de revoir leur domicile, où contre toute attente ils retrouvent leur mère, saine et sauve. Du moins en apparence..."
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